Nouvelle Zélande 2
On voit l'océan pour la première fois et un
panorama en contre plongée de la ville du haut de la colline.
En fait de cité balnéaire, on est assez déçu: temps gris et froid, plage de galets...
oui, on devient difficile!
Napier
Face à l'océan
Les hauteurs de Napier
Quelques douceurs... anglo-saxonnes...
Ensuite, on se rend à Wellington en bus, comme d'habitude, pour prendre le ferry pour l'île
du sud; Arrivée à Picton, on tombe sur un backpacker pas top! 4 dans une chambre où règne un
brouhaha pas possible, vu qu'on est derrière la cuisine-salle à manger commune!
Bonjour lebruit de la vaisselle, des portes de placards qui claquent! C'est beau d'être jeune!
Les hauteurs de Wellington
Université de Wellington
Sur le ferry en direction de Picton, l'île du sud
On enchaîne direct pour un motel pour les nuits qui nous restent à Picton.
Cette commune nous rappelle les ports bretons...même avec le crachin!
On fait une randonnée, le long des falaises,
nommée « boys' bay ».
grandiose. On va jusqu'à Saint Arnaud. Sur le chemin, On voit des moutons (mohair), les
lacs, les forêts, la neige au loin sur les montagnes, les pistes de randonnées un peu
partout... On voit surtout des Kiwis, l'emblème national Néo-Zélandais!!... euh, en fait,
on les voit surtout sur les panneaux de signalisation, beaucoup moins en chair et en
os! Dommage!
Virée au sud de Picton, côte Est.
On retrouve ensuite des amis qui nous emmènent dans un vignoble pas trop moche, dans le
restaurant « Saint Clair », très chic pour être honnête.
Vignoble de St arnaud
On reprend le ferry pour Wellington
et on dort dans un vrai « backpacker », tip top!
Départ pour l'Australie le 26 décembre.
En résumé:
On a adoré la Nouvelle-Zélande même si on a surtout vu l'île du nord et qu'un tout petit
bout de l'île du sud en 11 jours. En tout cas, les paysages sont absolument splendides, les
gens très chaleureux, la vie pas chère et la nourriture (fruits, légumes, viandes, vin...)
excellente! De plus, c'est une vraie nation de voyageurs et il est très facile de trouver un
hébergement ou d'organiser son transport, les offices de tourisme sont partout, ouverts
pratiquement 24/7 et le téléphone le plus souvent gratuit. Ça tombe plutôt bien vu qu'on est
parti « les mains dans les poches »! On a notamment découvert les « backpackers »: c'est
ceux qui voyagent avec un sac-à-dos, une véritable institution et une vraie école de la vie,
pour les jeunes Néo-Zélandais d'abord mais aussi pour tous les autres (jeunes et moins
jeunes...) qui viennent visiter le pays ou même y travailler pendant plusieurs mois parfois
(permis de travail).
Des hôtels « backpackers » sont très pratiques car situés en centre ville et pas chers. On y
dort souvent à 6, 8 ou plus par chambre mais il y a aussi quelques chambres simples ou
doubles. En tout cas, les prix défient souvent toute concurrence! Pour le confort, c'est
plus aléatoire. Certains sont bien tenus, mais dans d'autres, c'est l'ambiance « djeun's »
donc un peu synonyme de « bordélique »!!! C'est là qu'on voit qu'on a vieillit!! Les
beuveries, les discussions dans le couloir pendant la nuit, la musique à fond jusqu'à 4, 5 h
du mat, la cuisine et la salle à manger dégueulasses quand tu te lèves, des corps étalés un
peu partout dans l'immeuble qui « sortent du coma » rarement avant midi... ça fait des
souvenirs marrants mais ce n'est plus trop dans nos habitudes... Bon, on noircit un peu le
tableau, on voit aussi des gens propres, respectueux et on fait facilement des rencontres,
ça c'est super intéressant, heureusement. En tout cas, on pense déjà y retourner car il
reste encore plein de choses encore plus jolies à voir dans le sud, paraît-il, c'est dire!!!